Assurément, la plus belle escale de notre croisière. Cette île est un carrefour culturel bâti sur des siècles de conquête. Pour plus de renseignements, Wikipédia sera votre ami.
Déjà, le port est tellement joli qu’il mérite au moins deux photos.
Là, c’est nous.
Claire à passé un coup de fil, et hop…
…on avait notre taxi pour 6 personnes. Lowry, dit Kojak, était notre chauffeur.
Pour pas cher du tout, il nous a emmené voir tous les plus beaux coins de son île pendant toute une journée.
Direction Valletta, la capitale.
D’abord, une verrerie à Valletta où oeuvrent de vrais artistes.
Là, il vous fait un signe.
Donc, vous l’aurez compris, faut pas toucher avec les doigts. Pourquoi ? Je sais pas.
Voilà le résultat. Donc, ça c’est un cygne loupé reconverti en lapin.
On est aussi aller voir des orfèvre qui utilise du fil d’argent et d’or pour confectionner des bijoux et autres objets.
Comme nous l’a expliqué Kojak, il faut se retirer les échardes du doigt pour pouvoir bosser.
Et hop, ni vue ni connue. Le sac se remplit gratuitement.
Mais que fait cette femme sur mes genoux.
On a continué notre périple vers le centre de Valletta.
« L’île de Malte fait à peu près cette taille. C’est donc pas très grand. »
« D’accord, effectivement. »
Le petit bonbon rose au milieu qui tient un appareil photo c’est Claire.
Un panoramique de Nadia, qui prend tout l’objectif.
On a poussé l’aventure jusqu’au sud de l’île. Je sais, on est des fous, mais c’est l’aventure et on est équipé. On est donc arrivé à Marsaxlokk, un très charmant village de pêcheur avec des bateaux de pêche tricolores.
Pendant le voyage, il faut aérer.
Marsaxlokk, c’est aussi une église. Eh ouais, pour les pêcheurs il en faut bien une.
J’arrête l’eau pour qu’elle n’arrose pas le ciel. Sinon, après il pleut.
On a aussi visité une grotte avec des vestiges paléolithiques.
A l’époque leurs chiens avaient de la gueule.
Blue grotto. En français, la grotte bleue. Parce qu’elle est bleue, en fait.